Qu’est ce qui éloigne les Belges de leur passion ? Le manque de temps est plus élevé chez les Bruxellois et la crainte de l’échec pour la génération Y

La plupart d’entre nous ont un loisir particulier, une passion modérée ou dévorante qui nous donne l’impression de vivre pleinement. Mais le rush quotidien nous pousse souvent à faire passer cette activité au second plan. Une étude représentative menée auprès de 1 000 Belges démontre que 4 Belges sur 5 nourrissent une passion, mais que le manque d’argent, le manque de temps et les obligations familiales les empêchent de s’y adonner pleinement. Plus de la moitié (62 %) n’a plus exercé sa passion depuis un mois ou plus. A la question de savoir ce qui les retient dans la réalisation de cette passion, la peur de l’échec semble être pour les 25-34 ans, la génération Y, la principale cause. Il apparaît que plus on prend de l’âge, moins ce facteur est déterminant. Egalement frappant, c’est surtout à Bruxelles que l’on semble souffrir d'un manque de temps, tant dans les classes sociales supérieures que chez les 25-34 ans. Dans une société qui donne la priorité aux performances et à la rapidité d’exécution et où « être débordé » est devenu un nouveau statut social, nous semblons oublier les raisons pour lesquelles nous nous démenons. Côte d’Or entend nous inviter à redonner la priorité au vrai plaisir dans notre quotidien. 

En collaboration avec le bureau d’études Listen, Côte d’Or a sondé 1 000 Belges et 1 000 Néerlandais (entre 25 et 64 ans) via une enquête sur Internet. Objectif : cerner ce qui les fait vibrer (une passion, un rêve, une activité de petite ou de grande ampleur). 82 % ont répondu qu’ils nourrissaient, en effet, une telle envie, contre 83 % de nos voisins des Pays-Bas, qui ont participé à cette même étude. En Belgique, la Flandre obtient un score de 80 %, soit un peu moins élevé que la Wallonie (85 %) et que Bruxelles (84 %). Avec 86 %, les hommes sont plus conscients de leur passion que les femmes (77 %), de même que les personnes âgées de 35 à 44 ans et la classe sociale la plus élevée.

Voyager plus, mais aussi passer plus de temps avec ses enfants

Nous avons souhaité connaître le top 3 de ces activités dont nous tirons du plaisir. Entre autres voyager (38 %), améliorer nos relations (29 %) ou renforcer les liens familiaux (21 %) et passer plus de temps avec les enfants (29 %) se hissent en tête de liste.

Le plaisir de partir en voyage et de quitter un peu notre routine quotidienne n’est pas un résultat surprenant en soi. Ce qui l’est plus, c’est le score élevé associé au plaisir tiré des autres activités. Qu'il s'agisse de faire la connaissance de nouvelles personnes ou de passer du temps de qualité en famille, notre réseau social joue un rôle manifeste dans notre quête du plaisir.

Quand on s’intéresse aux différences chez nous, on constate que les relations sociales (par ex. : retrouver une connaissance de longue date), l’habitat (par ex. : rénover sa maison) ou les changements professionnels (par ex. : commencer sa propre entreprise) sont résolument davantage à l’ordre du jour en Flandre que dans le reste de notre pays. Une comparaison entre les sexes nous apprend, par ailleurs, que les performances physiques obtiennent toujours un score plus élevé chez les hommes que chez les femmes : le sport figure dans le top 3 des premiers alors qu’il est remplacé par l’aspect social chez les secondes. Une analyse sur la base de l’âge révèle que les répondants âgés de 25 à 44 ans pensent davantage à changer de situation professionnelle (par ex. : faire de son hobby son métier). Enfin, notons que les Belges accordent plus d’importance à leur temps libre et aux contacts sociaux, alors que les Hollandais donnent la priorité au plan professionnel. Mais de là à dire que nous sommes moins ambitieux que nos voisins du Nord, le raccourci serait un peu facile.

La diversité des résultats est explicite : nous ne devons pas toujours voir les choses en grand. Là où l’un serait comblé par un tour du monde ou la pratique de l’alpinisme, l’autre cherche à se rapprocher de son cercle familial ou à apprendre une nouvelle langue.

Important, mais pas une priorité dans nos agendas

Le fait que nous attachons une véritable importance à la passion ne fait aucun doute : 80 % trouvent cela important ou extrêmement important. Mais seulement 47 % des répondants sont satisfaits quant à la réalisation de cette passion. Nous n’y consacrons pas réellement de temps, à en juger par les 62 % qui ne se sont plus adonnés à leur activité de prédilection depuis un mois ou plus. La fréquence de pratique des Belges est toutefois légèrement plus élevée que chez nos voisins du Nord.

Principaux obstacles : l’argent, le temps et les obligations familiales

L’argent, le temps et les obligations familiales sont les principaux obstacles, avant le manque de connaissances, le manque de courage et la peur de l’inconnu notamment. Si nous observons les différences entre hommes et femmes, nous constatons que les femmes craignent davantage l’échec que les hommes (11 % contre 7 %). Le manque de temps joue à nouveau des tours aux Bruxellois principalement (51 % contre 38 % en Wallonie et 33 % en Flandre), et ce, dans la catégorie d’âge de 25 à 34 ans (47 %) et plus encore dans les classes sociales les plus élevées (42 % contre 28 %).  La peur de l’échec semble être pour les 25-34 ans, la génération Y, la principale cause (15%). Il apparaît que plus on prend de l’âge, moins ce facteur est déterminant (3% de 55-64 ans). Nos voisins du Nord expriment, quant à eux, davantage le manque de courage comme frein principal.

Petites adaptations, grands changements

Les gens n’aiment pas changer leurs habitudes. Apporter des changements dans notre vie ou sortir de notre zone de confort est souvent difficile. De petites adaptations peuvent toutefois rapidement avoir un impact positif. Inutile d’être un expert en gestion du temps pour s’en rendre compte. Aujourd’hui, nous planifions tout, même notre temps libre : pourquoi ne pas consacrer un petit moment chaque semaine (ou même chaque jour) à votre passion ? Et refaire de vos moments à vous une priorité, car c’est eux qui rendent heureux. Et ce bonheur est à portée de main : 10 % seraient liés aux conditions dans lesquelles nous vivons. Mais nous avons les cartes en main de 40 % de notre bonheur, selon l’étude sur le bonheur de la KULeuven réalisée en 2014. Les personnes heureuses se font, en outre, moins souvent porter pâles et sont plus performantes au travail. Que du positif !

La campagne True Pleasure donne la priorité au véritable plaisir

Côte d’Or prend la balle au bond et profite de ces résultats pour redonner la priorité au pur plaisir dans nos vies. Pour réaliser nos rêves et nous inciter à y consacrer du temps. La campagne « True Pleasure » nous pousse à nouveau à chercher ce petit plus qui nous fait vibrer, à lui redonner la priorité et à le concrétiser. Côte d’Or donnera un coup de pouce à certains d’entre vous pour vous permettre de réaliser votre ambition. La campagne se déroule sur www.cotedor.be

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À propos de Côte d’Or

Côte d’Or ravit les papilles des amoureux du chocolat depuis plus de 130 ans. Tout a commencé en 1883, lorsque Charles Neuhaus, maître chocolatier, créa la marque Côte d’Or, un clin d’œil à la Côte d’Or (actuel Ghana) qui fournissait une partie des fèves de cacao.

Depuis, l’histoire de cette tablette de chocolat éternellement jeune s’est transformée en une saga ponctuée par plus de cent produits et saveurs. Côte d’Or est encore et toujours maître de sa propre production. L’entreprise contrôle aussi l’ensemble du processus de production, du choix des fèves de cacao à la production. Aujourd’hui, Côte d’Or est sans nul doute une marque internationale. La fidélité à son goût intense si unique s’explique par une recette immuable (une teneur élevée en cacao et la qualité irréprochable et invariable des fèves), par le savoir-faire de la maison Côte d’Or et par des innovations à succès. La marque est commercialisée dans 89 pays. Des États-Unis à Dubaï, de la Russie à l’Australie, en passant par le Moyen-Orient… La marque fait partie du groupe alimentaire Mondelēz International, Inc. (NASDAQ : MDLZ), acteur mondial dans le secteur des en-cas avec un chiffre d’affaires de 34 milliards USD en 2014. Mondelēz International propose de délicieux instants de plaisir aux consommateurs de 165 pays en qualité de leader mondial notament sur le plan du chocolat, des biscuits, des bonbons et du café.

 

Anne De Smet

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